Aujourd'hui, je partage avec vous comment mon guide m'enseigne quand j'ai quelque chose à apprendre.
Ici c'est un sentiment d'impuissance qui prenait un peu trop de place. Alors je fais l'exercice devant vous en tapant sur mon clavier. C'est ainsi que j'ai écrit le journal d'une messagère.
Je vous montre comment on échange, et à la fin de la vidéo, la situation est réglée.
Vous avez ici une méthode donnée par les guides pour évacuer quand les pensées prennent trop de place.
Je vous laisse découvrir la vidéo.
Sous la vidéo, vous pourrez relire le texte que j'ai tapé.
"Mon enfant, tu crois que tu peux tout gérer, mais ce n'est pas vrai, tu ne gères rien, même pas tes émotions, parce qu'elles débordent.
Dans ce cas là, tu as à souffler,
souffler le plus fort possible pour les repousser.
Fais ainsi, je te
vois, tu as compris. (Je souffle de toutes mes forces comme il me
l'a montré)
C'est simple parce qu'ainsi tu
désamorces.
L'essentiel est ailleurs, les
pensées-piège, c'est ainsi que je vais les appeler, ne sont que des
folies de l'esprit, parce qu'elles ne font que du mal à ton corps,
n'est ce pas ?
N'est-ce pas toi qui regarde cette
vidéo ?
Et donc pour t'en défaire tu dois amorcer une pensée
autre.
Une pensée autre est celle-ci je compte : 1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14 15 16 1 7 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28
29 30
33 stop.
Tu vois, tu n'as pas suivi, parce que
tu étais occupée à contrôler tes doigts pour me suivre et taper,
tu n'as pas suivi plus j'allais vite,
ton orientation de pensées s'est accrochée à cet exercice pour
parvenir à être attentive à ce que je disais.
Tu vois, c'est pareil les pensées, il
suffit de t'accrocher à autre chose, pour défaire l'absence de
réponse, de situation que tu ne peux contrôler,
maintenant écoute :
Je te demande de te défaire de cette
pensée,
acceptes-tu ?
- Oui
maintenant, choisis-tu autre chose ?
- Oui,
la paix est bien comme choix,
- ok va pour la paix,
choisis-tu autre chose ?
(je me mets à souffler
spontanément)
voilà tu as écarté tes pensées en
soufflant.
L'habitude de t'accrocher à une
situation que tu ne peux contrôler est à défaire, beaucoup
fonctionnent comme ça.
Il suffit de comprendre que l'importance dans
laquelle vous mettez la réponse, ce point d’honneur à vouloir
contrôler, c'est là le point de douleur, c'est ça, la douleur, la
volonté de contrôle contre une impuissance. C’est la volonté de
contrôle qui fait mal, pas l'impuissance, parce lorsque tu ne
contrôles plus le flux se remet à être fluide, justement,
merci ".