Bonjour à tous,
Ce 14 juillet a emporté beaucoup d'êtres chers et semé encore plus la tristesse, et le désarroi dans les coeurs.
Bien que j'avais envie de vous publier un message qui puisse vous aider en cette étape, je n'en ai pas eu l'occasion jusqu'à maintenant.
Depuis deux jours, il me résonne en tête cet échange que j'ai eu avec mon guide le 27 novembre 2015
il prend tout son sens aujourd'hui, alors j'ai envie de vous le communiquer.
Courage,
que la lumière emplisse vos coeurs,
bien à vous
Françoise
Vendredi
27 novembre
Aujourd'hui a eu lieu à Paris la
cérémonie en mémoire des 130 personnes tuées dans les attentats
du 13 novembre. Je n'ai pas écrit depuis quelques
temps dans ce recueil, toute à l'émotion qui m'a traversée
et bouleversée ces derniers jours.
Ce soir, alors que je travaille sur mon
ordinateur à relire et corriger un autre ouvrage en préparation, je
me met à penser que j'écrirais bien quelque chose à ce sujet. Pas
besoin de s'étendre trop longuement. Je n'en ai pas envie.
L'instant d'avant, j'entends le moteur
d'une voiture dans la rue. Je jette un œil par la
fenêtre. La voiture est blanche, voyante et a des vitres fumées.
Des hommes discutent en bas sur la place, la voiture ralenti,
s'arrête un long moment. Et je m'inquiète de cela... Que va-t-il se passer ?
Rien en fait, elle reprend sa route et s'éloigne. Et déjà mon
impression fugace s'en va...
Mes guides, s'il vous plaît, merci de
votre enseignement. Pour tous.
« Tout dans vos esprits prête
à confusion.
Tout et rien.
Cela est normal.
La peur est intrinsèque
et immédiate.
Comme retentit une sonnerie d'un clocher, elle résonne
en vous.
Ne la laissez pas aller plus loin
que la première impression-idée.
C'est simple et à la fois, un
geste automatique à apprendre.
L'abandon que la vie va vous porter
n'est pas présent.
Mais quel est cet abandon ?
Laisser faire,
laisser vivre,
laisser guider,
laisser avec confiance refaire les pas faits hier,
et
avant,
encore.
Laisser respirer,
laisser vivre à l'intérieur les
inquiétudes éphémères,
et les laisser vite s'en aller,
comme une
constatation que cela a été présent l'instant d'avant,
et déjà
c'est parti.
C'est ainsi qu'il convient de vivre
le moment présent de votre vie,
par intermèdes,
par intermédiaires
comptés,
et non pas à pas comptés.
Juste vivre et avancer dans vos
vies focus.
La vie vous porte là où vous devez
aller.
Oui, elle mène plus ou moins vite à
la mort.
Mais la mort est un rendez-vous pour
tous.
Impuni semble-t-il quand vous voyez les attentats emmener les
êtres les plus chers.
Qu'en savez-vous ?
Se pourrait-il qu'ils avaient une
mission en venant et repartant ainsi ?
Mais de quelle mission s'agirait-il
sinon celle d'ouvrir les cœurs et les consciences et éviter que le
monde, votre monde ne dérape plus encore dans le chaos.
Oui je l'ai
dit le chaos, car c'est ce qu'il risque d'arriver dans vos cœurs si
vous n'y prenez garde.
Le chaos de cet ordre n'est pas de
l'ordre de l'amour, il est de l'ordre du conflit irrémédiable. Même
cette messagère s'est laissée entraîner dans les insultes et les
conflits.
Mais envers qui ?
Envers
elle-même d'abord parce que c'est ainsi que tout commence.
Tout commence envers vous-même et
les reproches inutiles que vous vous faites à vous, et aux uns et
aux autres aussi, proches de vous.
De quel droit faudrait-il vous asséner de coups-mots-reproches ?
L'amour commence par vous,
à
l'intérieur de vous, par votre petite grande
personne.
Oui, j'ai barré le mot « petite » parce que
vous n'êtes pas petits,
vous êtes un et unis en votre grandeur.
Simplement.
Alors je vous en prie, commencez par
vous,
et simplement par vous, et votre environnement.
Cela contribuera à changer en bien,
le monde autour de vous pour impacter plus loin.
Merci ».
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