vendredi 27 octobre 2017

Quand les Guides enseignent : se défaire du sentiment d'impuissance


Aujourd'hui, je partage avec vous comment mon guide m'enseigne quand j'ai quelque chose à apprendre. 
Ici c'est un sentiment d'impuissance qui prenait un peu trop de place. Alors je fais l'exercice devant vous en tapant sur mon clavier. C'est ainsi que j'ai écrit le journal d'une messagère. 
Je vous montre comment on échange, et à la fin de la vidéo, la situation est réglée.
Vous avez ici une méthode donnée par les guides pour évacuer quand les pensées prennent trop de place.
Je vous laisse découvrir la vidéo. 
Sous la vidéo, vous pourrez relire le texte que j'ai tapé.






"Mon enfant, tu crois que tu peux tout gérer, mais ce n'est pas vrai, tu ne gères rien, même pas tes émotions, parce qu'elles débordent.

Dans ce cas là, tu as à souffler, souffler le plus fort possible pour les repousser.
 Fais ainsi, je te vois, tu as compris. (Je souffle de toutes mes forces comme il me l'a montré)

C'est simple parce qu'ainsi tu désamorces.

L'essentiel est ailleurs, les pensées-piège, c'est ainsi que je vais les appeler, ne sont que des folies de l'esprit, parce qu'elles ne font que du mal à ton corps, n'est ce pas ?

N'est-ce pas toi qui regarde cette vidéo ?

 Et donc pour t'en défaire tu dois amorcer une pensée autre. 

Une pensée autre est celle-ci je compte : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 1 7 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
33 stop.

Tu vois, tu n'as pas suivi, parce que tu étais occupée à contrôler tes doigts pour me suivre et taper,
tu n'as pas suivi plus j'allais vite, ton orientation de pensées s'est accrochée à cet exercice pour parvenir à être attentive à ce que je disais.

Tu vois, c'est pareil les pensées, il suffit de t'accrocher à autre chose, pour défaire l'absence de réponse, de situation que tu ne peux contrôler,

maintenant écoute :

Je te demande de te défaire de cette pensée,
acceptes-tu ?
- Oui
maintenant, choisis-tu autre chose ?
- Oui,
la paix est bien comme choix,
- ok va pour la paix,
choisis-tu autre chose ?
(je me mets à souffler spontanément)
voilà tu as écarté tes pensées en soufflant.

L'habitude de t'accrocher à une situation que tu ne peux contrôler est à défaire, beaucoup fonctionnent comme ça. 

Il suffit de comprendre que l'importance dans laquelle vous mettez la réponse, ce point d’honneur à vouloir contrôler, c'est là le point de douleur, c'est ça, la douleur, la volonté de contrôle contre une impuissance. C’est la volonté de contrôle qui fait mal, pas l'impuissance, parce lorsque tu ne contrôles plus le flux se remet à être fluide, justement,

merci ".


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