dimanche 1 mars 2015

Journal d'une messagère # 2 - Se pardonner ne peut être un acte mental...



Je pense que se pardonner pour tous nos choix (surtout ceux qui nous ont conduit à la souffrance), ne peut être un acte mental. Mais alors, puisque à mes yeux "décider" de se pardonner ne suffit pas, comment agir ? Et faut-il agir sur tous les plans ? 

Pour la petite histoire, ce travail de me pardonner à moi-même pointait le bout de son nez depuis quelques jours, et cela m'a réveillé à 4 h 20 du matin. A 4 h 44, alors que je reposais le crayon, je savais que j'avais franchi une étape dans le pardon envers moi-même. Même si cela peut sembler un peu personnel, je fais le choix de partager ce message avec vous parce que ce qui m'a été expliqué vaut toutes les raisons de le partager.
Je vous souhaite bonne lecture. 
Françoise



"Je suis l'Archange Saint Michel, je te remercie de cette communication,

lorsque tu fais un choix, il peut avoir une conséquence heureuse, ou malheureuse.

La conséquence heureuse te procure le bien-être et la satisfaction, l'estime, aussi, de toi-même, et d'avoir fait ce bon choix pour toutes les retombées positives.

Lorsque l'incidence de ton choix conduit à un "hasard malheureux", il s'en suit une résonance qui peut demeurer en toi longtemps.

Le choix d'incarnation débouchant sur des conséquences que tu "juges" malheureuses ne l'est que parce qu'il y a choix d'amour à la base. Celui d'une réparation, liée à une expérience de vie précédente, celui d'expérimenter cette vibration de conséquences multiples pour en savourer ensuite la satisfaction de l'avoir transcendée.Celui d'être au coté d'une personne qui part ta seule présence même malheureuse constituera un soutien, qui absent aurait eu d'autres conséquences.

Pardonner et "se" pardonner engendre un premier processus qui est celui de comprendre les raisons au delà du vécu. Les raisons sont toujours l'amour et les raisons, même vues par le prisme de tes yeux sont "toujours" l'amour.

Comprendre cela est déjà passer à l'étape suivante. 

Tu as choisi cela pour retrouver l'amour de toi-même perdu à un moment clé de ta vie. Perdu par la perte de toi-même, perdu dans d'autres souffrances similaires.

Tout acte de blessure demande cette première compréhension pour enfin reconnaître l'amour et quand tu comprends que la finalité est l'amour, tu reconnais tes choix, indépendamment du jugement de ta propre souffrance, comme "bons" et cela lève tous les voiles de souffrance et de non-pardon initial. 

Le mental ne peut combattre quand la finalité est l'amour.

Le mental est outil de paradoxe et cela ne tient pas face à la reconnexion à l'amour.

Tu as fait cela dans l'énergie d'amour et si même à cet instant tu ne l'as pas reconnu, tu peux maintenant le comprendre et le reconnaître.

Reconnaître l'acte d'amour dans le choix initial est se pardonner, et la boucle est bouclée.
La réparation est là présente et indéfectible.

Sache qu'en recevant cet enseignement, tu as fait l'acte de réparation que tu as tant recherché en toi-même et envers ton choix. En faisant cela, tu as aussi ouvert la porte de la compréhension pour les personnes qui se reconnaîtront et qui n'avaient pas compris que derrière certains de leur choix qui les ont fait souffrir, il y avait simplement un choix de réparation et d'amour. 

Dieu est Amour.

Dieu est vibration juste car nul autre chemin que celui qu'il propose est Amour.

Nul besoin de pénitence, de rédemption et d'auto-flagellation. 

Reconnaître qu'il est vibration d'Amour, en tout, et pour tous ceux qu'il a créé est reconnaître son existence."






"... Je te remercie pour cet enseignement que tu as offert à mon coeur et mon âme cette nuit. 
4 h 44".

Canalisation reçue par Françoise Roué le 27 février 2015 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire